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Les paysages du Gers apparaissent de prime abord
confus et assez homogènes. C’est un paysage discret,
sobre, à « échelle humaine ».
La première impression est celle d’un vaste ensemble
de coteaux, de vallées, de collines et de vallons arrondis
au relief modeste, disposés de manière «
anarchique » où tout se ressemble. Partout la
campagne est cultivée et forme une mosaïque de
champs et de cultures qui ne cesse de changer. Il y a très
peu d’agglomérations, plutôt un maillage
lâche du territoire par une multitude de petits villages
et de maisons dispersées et reliés entre eux
par un important réseau de petites routes. Il n’y
a presque jamais de ruptures franches susceptibles de servir
de repères. |
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